SPURS 2006 WONBA CHAMPIONS

Le trophée Larry O’brien prend la Direction de San Antonio après une saison pleine d’émotions et des PO de haute volée.

Une bien belle récompense pour les fans, pour les joueurs des Spurs dont le collectif et la profondeur ont fait merveille, ainsi que pour son GM.

Trop heureux du dénouement de cette saison, Jipepovich conserve d’ailleurs pendant quelques jours chez lui, sur la cheminée de sa cuisine, ce trophée qui fait son bonheur et sa fierté.

Et aujourd’hui encore, O’Brien is in the kitchen.

Car c’est le rêve de toute une vie qui s’est réalisé pour Jipepovich.

 

Le rêve Américain de Jipepovich

Aux prémices de son adolescence, avec l’apparition de ses premiers poils pubères, le jeune Jipepovich, depuis la France, rêvait déjà d’Amérique !

Alors que ces potes passaient l’essentiel de leur temps libre à kiter leur Mob avec leur pot ninja, carbu de 18 et kit Polini, Jipepovich, lui, se passionnait pour l’analyse statistique des matchs de nba.

Il développa alors quelques programmes sous Turbo Pascal pour analyser statistiquement chaque match.

Le rêve était en marche. 

Quelques années plus tard, grâce à ces programmes et à ses qualités de découvreur de talents, sa réputation traversa l’Atlantique.

 

Précédé par sa réputation, il traversa à son tour l’Atlantique pour co manager sa première franchise.

Ce sont en effet les bulls qui les premiers feront confiance à Jipepovich qui fut alors nommé co gm aux côtés d’un GM expérimenté : Philippe.

Les débuts furent assez difficiles pour le jeune Jipepovich qui comprit que Philippe avait des petits grizzlis dans son portefeuille. Philippe était en effet aussi avare dans la gestion du roster que dans sa communication.

Leurs échanges pouvaient se résumer à ça :

Jipepovich : « Avec cette équipe, on va avoir du mal à se qualifier. Que penses-tu de reconstruire complétement ? »

Philippe : « non »

Jipepovich : « Sinon, ça te va ça comme roster pour la v3 ? »

Philippe : « »

Jipepovich : « je te propose qu’on essaie de trader Allan Houston contre un joueur plus défensif. Qu’en penses-tu ? »

Philippe : « non »

Jipepovich : « Que penses-tu d’essayer de nous renforcer ? »

Philippe : « non »

Jipepovich : Et si on essayait de trader ?

Philippe : « non »

C’est un fait divers sordide qui permit finalement à Jipepovich de prendre seul les rennes d’une franchise wonba. En effet, Philippe accusé de harcèlement sexuel à connotation zoophile par Benny the Bull, la mascotte des bulls, dut se résoudre à démissionner.

Philippe parti préparer son procès, Jipepovich devint alors seul GM des bulls. La légende était en marche.

Assez rapidement, grâce à une capacité d’analyse exceptionnelle, il arriva à la conclusion que le roster des bulls ne lui permettrait pas d’ambitionner d’atteindre les sommets de wonba :

Le 5 des bulls était en effet un tout petit peu juste pour gagner une bague : Wennington / Simpkins / Kukoc / Houston / Randy Brown.

Les remplaçants également très short, en dehors de Brent Barry le joueur fétiche de Modjo.

GM trader compulsif, Jipepovich transforma assez rapidement ce roster avant d’être contacté par Bobcousy, GM expérimenté que la transformation des bulls faisait saliver, pour un swap de franchise : Bulls vs Spurs.

Bobcousy : « si on swapait ? Je suis un méga fan des Bulls. Avec cette franchise et après le boulot que tu y as fait, je vais tout casser ! »

C’était l’occasion rêvée pour Jipepovich de manager un FP énorme comme Duncan et surtout de pouvoir le trader, lui le trader compulsif qui rêvait de trader une méga star.

Et de son côté, Bobcousy a tout cassé (mais au sens propre, pas au sens figuré).

 

Jipepovich chez les Spurs : le sacre

Peu de temps après sa prise de fonction, Jipépovich est raillé par ses collègues GM. Mais surtout, il a réussi à déclencher la fureur des fans. Petit rappel, sa maison est alors sous protection policière, son nouveau 4×4 flambant neuf, un magnifique Rancho de 75CV est même caillassé alors qu’il fait un crochet au 7-Eleven pour s’acheter une bouteille de William Peel.

En effet, Dream Team, le génie de San Antonio vient de quitter le navire que l’Amiral avait déjà délaissé 2 années plus tôt. Tim Duncan a été tradé et Burle, cet ex vainqueur de « n’oubliez pas les paroles », est tout heureux de récupérer Mr Fundamentals.

 

 

 

 

 

 

Mais à force de trades qui s’enchainent frénétiquement, Jipepovich parvient enfin à bâtir un roster digne de ce nom et surtout capable d’atteindre les finales wonba.

En 2005, il tutoie son rêve mais Modjo, sans pitié, le renvoie à ses chères études en 7 manches d’une belle finale.

«  Ce qui ne me tue pas, ne me tue pas » aime à dire Jipépovich.

Son seul but : revenir en finale ET GAGNER UN TITRE.

Sa réponse : Allen Iverson

En effet, il transforme de nouveau complètement son roster et parvient à faire signer une énorme star : Allen Iverson.

Et, grâce à un roster hyper complet et profond, sans point faible, grâce aussi à un Iverson énorme en PO, les Spurs atteignent de nouveau les finales wonba en ne concédant que 3 matchs lors des 3 premiers tours.

Mais en face, cette année, c’est l’armada de l’ex vainqueur de « n’oubliez pas les paroles » qui se dresse face aux Spurs !

Le Magic a notamment profité de la défaillance des Knicks suite au recrutement par Modjo du staff médical de l’OL, cette équipe française de soccer dirigée par un twittos.

 

Et cette année, il était écrit que les Spurs iraient jusqu’au bout et à l’issue d’une finale particulièrement serrée, le rêve de Jipepovich et des Spurs allait se réaliser.

Une finale de très haut niveau avec d’énormes duels :

Duncan vs Battie

Elton Brand vs KVH

Stoja vs Harrington

Vince Carter vs Allen Iverson

Mike Bibby vs Steeve Francis

En 6 matchs d’une très belle série, avec 3 matchs qui se sont joués en 3 points ou moins,

 

Les SPURS sont devenus

2006 WONBA CHAMPIONS !!!!