L’ivresse du champion

16 saisons, et Boston est enfin Champion.
Chris l’a attendu, comme on attend une réponse de l’intéressé à son MP.
L’ivresse de patienter face à cette réponse, l’attente du « tu peux poster », il n’a pas digéré.
A travers tous les différents festivals de sa contrée lointaine, Chris est parti.
Il a sombré. Il est retombé, comme un bad beat au poker, comme ma bite devant ta mère.
Oui, la poésie nouvelle n’est plus. Les maux sont aussi durs qu’un orteil contre une table basse, putain ça fait mal.

Chris, je t’appelle désespérément au secours. Je ne suis pas le seul à qui tu manques. Biboum m’a confié récemment dans le creux de l’oreille que la chaleur de ta respiration sur sa nuque lui manquait terriblement.

Chris, t’es un peu mon casanova.

Au fut et à mesure de cet article, que je me dis que je vais bien trouver des comparaisons avec les perso d’American Pie.

Allez, on fait la liste.
Pause Caca : Burle. Bah oui, toujours là quand il faut pas, et jamais là quand il faut. Un peu mytho sur les bords quand tu négocies, mais toujours une grande classe quand on discute « héhé devine où j’suis ? aux waters ! »

Jim : Tommy. Forcément, t’es le noob, donc ça ne pouvait t’échapper. Bon courage pour la trompette.

Bonus, parce que j’adore : https://www.youtube.com/watch?v=xJxde2KNtrk

Stifler : Maxou. Jamais la langue dans la poche, mais il manque ce petit côté vulgaire.

Désolé, pas trouvé mieux pour la qualité…

le papa de jim : maxou, encore. Bah oui pareil, jamais la langue dans la bouche…

les lesbiennes de AP2 : Crap & Pop

La version espagnole tiens.