Rock Songs Volume 1

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A mon tour de m’essayer aux analogies musicales chères à l’ami Burle… Quelle chanson rock pourrait le mieux illustrer les performances ou la stratégie des GMs de chacun des équipes de la ligue WONBA ? Devant le manque d’enthousiasme suscité par le registre hard rock/metal, j’ai élargi à des chansons plus pop/rock !

Le tour d’horizon commence par la conférence Est… J’aime beaucoup les feuilletons, donc je dévoilerai chaque soir 2 nouvelles associations chansons/équipes (tirées au hasard parmi les 15 franchises de la conférence Est) !

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1. Indiana Pacers – Fade to black (Metallica)

« Life it seems, will fade away – Drifting further every day – Getting lost within myself  – Nothing matters no one else – I have lost the will to live – Simply nothing more to give – There is nothing more for me  – Need the end to set me free »

Une lente dégringolade pour les Pacers de Aym… Après une entrée en scène fracassante au début de l’aventure Wonba, on voyait Indiana décrocher un ou deux titres. Malheureusement, les Lakers en ont décidé autrement. Depuis, les Pacers ne cessent de descendre dans la hiérarchie… jusqu’à la catastrophe de cette année !

Avec un effectif d’une rare pauvreté, Indiana attend patiemment la prochaine draft en gagnant un petit match de temps en temps. Les stars de l’équipe ? Andrei Kirilenko et Stromile Swift, c’est dire… Retrouveront-ils le top aussi vite qu’ils ont touché le fond ? Il ne faut jurer de rien, mais je ne serai pas surpris de voir Aym et les siens pointer le bout de leur nez dès la prochaine saison. A la différence de certains autres cancres, les Pacers ont tous leurs picks et aussi beaucoup de cap pour proposer quelques gros contrats à l’intersaison. Après, quel free agent aura vraiment envie de jouer à Indiana ?

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2. New York Knicks – Master of Puppets (Metallica)

« Master of puppets – I’m pulling your strings – Twisting your mind and smashing your dreams – Blinded by me, you can’t see a thing  – Just call my name, ’cause I’ll hear you scream »

Modjo ou l’homme qui tire les ficelles ! Nous ne sommes que des marionnettes, attendant qu’il nous fournisse notre dose hebdomadaire. Espérant un petit « en ligne » qui vaut tous les fix…

Mais il n’est pas que le « commish » de cet univers, il en est aussi l’un des principaux acteurs depuis qu’il a récupéré Jason le Kid(d) dans son jardin. Pour l’instant, ce dernier n’a pas réussi à ramener le titre à New York. Pourquoi pas cette année ? Kidd/Terry/Webber/Longley/Williams, ça envoie du lourd… Mais qui est le titulaire sur l’aile ??? Moi, j’imaginerai bien un petit deal de Luc Longley ou Jayson Williams pour récupérer un VRAI ailier… Mais je ne suis pas celui qui tire les ficelles ! 🙂

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3. Cleveland Cavaliers – Forever Young (Alphaville)

« Forever young , I want to be forever young – Do you really want to live forever – Forever and ever« 

La jeunesse au pouvoir ! Depuis son arrivée aux affaires, his airness a une politique claire : il préfère les jeunes joueurs. Chaque année, c’est aussi un peu le même refrain chez les Cavaliers, qui partent au galop avant de s’essouffler progressivement.

Après le passage réussi de Derek Anderson, l’équipe de Cleveland s’est appuyé sur le seul pivot Marcus Camby. Progressivement, il a été rejoint par Antawn Jamison, Andre Miller, Michael Redd, puis cette année par le rookie Joe Johnson. Voilà l’un des 5 les plus jeunes de la ligue Wonba : seulement 24 ans de moyenne ! Parmi les joueurs qui jouent régulièrement, on trouve encore Cedric Henderson (26 ans) et Darius Miles (20 ans). Cette année, les résultats sont un peu meilleurs, et Cleveland peut légitimement ambitionner de jouer les playoffs. En contrepartie, his airness ne pourra pas compter sur la draft pour se renforcer. Va-t-il frapper un grand coup à la free agency, en re-signant Antawn Jamison et en recrutant une grosse star ?

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4. Boston Celtics – A Little Bit of Green (Elvis Presley)

« Just a little bit of green – Clouds my eyes to what I’ve seen – Just a little bit of green – When I see you with someone new – And knowing that there’s nothing I can do« 

Pas si verts, les Celtics ! La maison de retraite de Wonba s’est enrichi de 2 beaux spécimen cette saison, mais les résultats tardent… Chris et les Celtics animent pourtant la colonne transferts des journaux depuis le lancement de la ligue Wonba, squattent les All-NBA Teams et les All-Star Games, mais n’ont pas réussi à ramener un titre ou même à parvenir en finales. Presque une catastrophe pour cette franchise bardée de titres !

Dès lors, Paul Pierce va-t-il choisir un nouveau départ à l’intersaison, pour voir si l’herbe est plus verte ailleurs ? Ou va-t-il être convaincu de rempiler à Boston par la tchatche légendaire de Gary Payton ? En tous les cas, il ne pourra sans doute pas compter très longtemps sur Hakeem « The Dream » Olajuwon (38 ans) et sur Reggie « Knick Killer » Miller (complétement cuit…). Pour ma part, je crois pourtant que New York et Orlando devraient se méfier des Celtics pendant les playoffs. S’ils sont tous 3 sur pieds, le trio Payton/Pierce/Olajuwon reste très très dangereux, même si c’est un peu le désert à côté. Allez Chris, un petit effort pour renforcer ton effectif avec 1 ou 2 vieux supplémentaires !!!

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5. Charlotte Hornets – Talkin’ Bout a Revolution (Tracy Chapman)

« Don’t you know – They’re talkin’bout a revolution – It sounds like a whisper« 

C’est la révolution chez les Hornets ! Je croyais vraiment que Dielci n’oserait jamais se séparer de « son » franchise player, Eddie Jones. Comme souvent, c’est Don Moretti qui a su trouver les mots et les arguments pour le convaincre de prendre une nouvelle direction. Les jeunes ont donc pris le pouvoir à Charlotte, et il faudra un peu de temps pour savoir si les Hornets passeront un cap dans les prochaines années.

Exit Eddie Jones, donc. Exit aussi le rookie Gerald Wallace. En retour, Charlotte récupère un backcourt tout beau, tout neuf : à la mène, Steve Nash, très bon attaquant, excellent gestionnaire, mais véritable passoire en défense. A ses côtés, l’Argentin Manu Ginobili, encore timide offensivement mais déjà très performant en défense. A priori, un duo complémentaire, donc. Dans la raquette, le très régulier Brad Miller confirme ses bonnes dispositions. Il ne sera jamais un grand rebondeur, mais il tient bien la route en attaque comme en défense. Sur les ailes, beaucoup de points d’interrogations en revanche : qui de Bobby Simmons, Vlad Radmanovic ou Mehmet Okur va s’affirmer comme un titulaire crédible ? La révolution est en marche, mais il est difficile de savoir jusqu’où elle portera les Hornets…

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6. Philadelphia Sixers – Money (Pink Floyd)

« Money, get away – Get a good job with good pay and you’re okay – Money, it’s a gas – Grab that cash with both hands and make a stash – New car, caviar, four star daydream – Think I’ll buy me a football team« 

Que les gros salaires lèvent le doigt ! Beaucoup de joueurs concernés chez les Sixers de pedro… Malgré cette masse salariale bien chargée, la cité de l’amour fraternel peine à se passionner pour les résultats de son équipe de basket, qui est très régulière mais moyenne : un bilan de 42-40 en 2000, 41-41 l’an dernier et 28-27 pour l’instant cette année.

Tim Hardaway (35 ans déjà), Latrell Sprewell (31 ans) et Vlade Divac (31 ans) émargeront tous trois à plus de 10 Millions de $ la saison prochaine et la saison suivante. Pour Wesley Person, c’est carrément le casse du siècle : 7 Millions l’an prochain pour 2.8 points par match en presque 20 minutes ! Ça fait cher le panier marqué… Des raisons d’espérer à Philadelphia toutefois : Erick Dampier fait une saison de mammouth (pas si loin de Big Shaq Baby dans la hiérarchie des pivots), alors que les rookies Richard Jefferson et Sam Dalembert sont très prometteurs. Ironie du sort : Erick Dampier, qui présente sans doute le meilleur rapport qualité/prix (hors contrat rookie) de la ligue WONBA, évolue dans cette « team des surpayés »…

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